Je suis d’abord frappée par la vitalité de ce pays d’Asie centrale, organisé, structuré, propre, avec des espaces publics soignés, arborés et fleuris. Que de marchands, guerriers, savants, religieux et artisans ont laissé leur empreinte fascinante à Khiva, Boukhara, Samarcande… Il est étonnant de voir comment ces échanges passés ont marqué la population ouzbèke actuelle, qui, malgré les aléas de son histoire, reste profondément attachée aux traditions familiales. On perçoit aussi l’énergie d’une jeunesse prête à s’ouvrir au monde et à engager de nouveaux échanges.